Les réseaux s’enflamment pour le HSBC SVNS 2025
En seulement 10 minutes passées sur le compte Instagram officiel du HSBC SVNS, on comprend pourquoi ce sport est si apprécié.
Des actions de fou, des gestes à couper le souffle, des personnalités marquantes, du spectacle et des lois de la physique remises en question : tous les ingrédients de la viralité sont réunis et incarnés par des joueurs comme Luciano Gonzalez Rizzoni ou encore Jorja Miller.
On commence par ce pays qui livre des clips sensationnels par palette : les Fidji.
Terio Veilawa, notamment, sait mettre le feu aux tribunes et l’a montré à Perth. Avec Viwa Naduvalo, ils ont fait l’étalage de tout ce qui fait le sel du rugby fidjien.
Sur le plan du panache, l’Australienne Maddi Levi n’est pas en reste et elle l’a montré à Singapour. Elle a d’abord sauvé un essai avant de s’offrir une accélération presque animale. Elle n’a peut-être pas réussi à renverser les Black Ferns mais nous a régalés comme jamais.
Faith Nathan, elle aussi, a des allures de jaguar quand elle joue. Féroce, racée, agile. Mais, à Hong Kong, on s’est rappelé qu’elle était humaine et qu’elle pouvait, elle aussi, être remise à sa place. Mais ça arrive à tout le monde.
À nos yeux, elle reste une merveille du rugby international, et plus encore.
Autre championne de sa catégorie : Michaela Brake. Elle fait des stats autant sur les réseaux que sur le terrain. Le haka réalisé par ses coéquipières quand elle est devenue meilleure marqueuse d’essais de l’histoire de la compétition donne des frissons.
Les hymnes sont aussi un moment fort en émotions. Les larmes, les mentons qui tremblent… Puis, d’un coup, l’état d’esprit change, comme l’a prouvé Brake en déchirant le rideau australien dès le coup de sifflet. Une transformation digne de Hulk.
Un demi-million de personnes ont vu Marcos Moneta faire ça, une semaine après avoir marqué l’histoire et fait pleurer des milliers de fans avec lui à Hong Kong.
En 2024, à l’image de son équipe d’Argentine, il avait connu des moments compliqués. Il s’était notamment fracturé le péroné. Mais il a réalisé un retour sensationnel, notamment devant ses parents qui avaient fait le déplacement pour le voir à Singapour, où les Argentins ont décroché une deuxième médaille d’or consécutive.
Le Kenya, c’est surtout une « vibe » contagieuse. Les Kenyans jouent vite, célèbrent avec une joie de vivre communicative, et le public adore ça.
On se souvient notamment de ce jeune Français absorbé par les fans du Kenya et chantant avec eux, tout comme de l’incroyable flair des Kenyans sur le terrain. Avec eux, le circuit rayonne et on l’a vu à Singapour.
Mateo Viñals a aussi enflammé les réseaux à Vancouver en pulvérisant la machine pour tester la poigne. N’oubliez jamais que les joueurs de 7 sont complètement fous et qu’ils n’ont pas forcément besoin de ces accessoires pour le montrer.
Le circuit SVNS, c’est aussi l’occasion de voyager. Cette année, les six villes hôtes ont été le théâtre de magnifiques scènes de joie qui ont égayé les cœurs et, forcément, généré de l’engouement sur les réseaux.
Les Espagnols ont été au cœur de cette ferveur, avec leurs danses, leurs sessions natation improbables et leur jeu aussi libéré que leur esprit.
Pol Pla est le symbole de cette équipe qui monte en puissance, tant sur le pré qu’en dehors. Une chose est sure : les Espagnols comptent rester viraux le plus longtemps possible.
Une dernière pour la route ? Les joueurs qui défient la physique alors que les bières passent tel un serpent, une image qui définit à elle seule l’ambiance de fête qui anime le circuit.
Rien de tel pour susciter de l’engagement, même si nous vous déconseillons de reproduire ça chez vous.
Voilà pour les images les plus hautes en couleur de cette saison de HSBC SVNS. Rendez-vous à LA pour le bouquet final !